Je vais vous narrer en détail un passage qui me tiens beaucoup a cœur.
Il y a de ça environ cinq ans, je me dirigeait vers la ville ,ou je découvrirais l'existence du monde de Théos mais c'est une autre histoire, et je rencontrait un homme. Petit. Non, en réalité assez grand mais plié, recroquevillé, roulé sur lui même, dormant la même le sol. Il se leva a mon approche et je remarquais un étrange tatouage autour de son coup et de ses poignets. Il m'adressa la parole, disant à peu près ceci : "Non ! N'all... N'allez pas... pas la-bas !" Et il me montra la ville, à environ une demi-lieu de distance.
Plus tard, environ une heure,que nous passâmes à bavasser, il m'expliqua que son état et son interdiction était liés. Pour dire, il avait été détroussé dès son entrée en ville par les "gueux" comme il les appelais.
Il se leva prestement et dit : "Qui ?" puis : "Non je ne suis pas mort mon cher frère. Un homme m'a secouru."
Je lui demandais de répéter croyant qu'il s'adressait a moi, mais j'étais comme inexistant pour lui a ce moment.
Il s'est rassit et a continué de parlé comme si je n'avais rien vu, rien entendu, ni rien senti. Car il y avait une présence. Une présence se précisant sur un visage : celui de mon père.
Je fus frappé de stupeur car, comme vous le savez, mon père était prince et utilisait des pouvoir magiques incroyables. Mais ce pouvoir la m'était totalement inconnu.
Je déballait cette bombe et l'amenais sur le tapis de la conversation en disant : "Vous connaissez mon père n'est-ce pas ?" Son visage se métamorphosa en une chose inexplicable d'horreur. Ses trait s'étirèrent ou se contractèrent pour former une chose ressemblant vaguement a une énorme mouche.
Il me regarda dans les yeux et je sus que pouvait utiliser ses mêmes pouvoirs que ceux de mon père.
Sa parole contre la mienne que je sus a peu près tout ce que je devais savoir a ce moment la.
En un coup de fureur, je l'envoyait en des contrées que moi seul connait et qu'il ne vaudrais pas décrire si vous voulez dormir tous le soirs.
Peu après je compris son mensonge en m'introduisant dans la ville. Mon père était la et dit : " Maintenant tu sais !"
Et moi de lui répondre : " Je me souviendrait, quitte a le consigner !"
Et depuis je me souviens.